SudPresse précise que certains gardiens craignent "des règlements de comptes entre détenus" : entre les radicalisés et ceux qui "craignent pour leur famille".
A Andenne, sont détenues de nombreuses personnes radicalisées ou condamnées pour terrorisme.
Il est impossible de prouver les motivations de ces quelques détenus. Certains pourraient, tout simplement, être révoltés contre la société dans son ensemble. Une société qui "les a mis" en prison.
Rappelons enfin que de tels mots avaient également été prononcés à la suite des attentats de Paris.