Camille, institutrice primaire, fait part de son désarroi: "Ne plus aller enseigner sera bientôt le lot de beaucoup d’enseignants, qui ont trop tiré sur l'élastique"

La crise sanitaire a propulsé l’école dans une zone d’extrême tension. Face aux absences et aux dernières mesures, des instituteurs craquent.

Camille, institutrice primaire, fait part de son désarroi: "Ne plus aller enseigner sera bientôt le lot de beaucoup d’enseignants, qui ont trop tiré sur l'élastique"
©BELGA

"Ne plus aller enseigner sera bientôt le lot de beaucoup d'enseignants, flexibles jusqu'à présent mais qui ont trop tiré sur l'élastique." Camille est institutrice primaire en Région bruxelloise. Elle nous contacte pour témoigner. Comme certains de ses confrères, elle ne fait pas partie de ceux qui se réjouissent des récentes mesures prises en Cim (conférence interministérielle) Santé. Surtout la suppression de la quarantaine pour les écoliers dont un membre du foyer est positif et l'arrêt de la fermeture automatique d'une classe à partir de quatre contaminations.

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