Un élève wallon sur trois choisit le néerlandais comme seconde langue
C’était encore le cas d’un élève sur deux en 2010. Mais obliger rime-t-il avec mieux former?
:format(jpg)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/MSPV24KAJNEQZAF6UCJV3E6EHQ.jpg 480w,https://www.lalibre.be/resizer/ipon6EYy4eIVi6MIqpbFW3dpy3g=/480x480/smart/filters:quality(70):format(jpg)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/MSPV24KAJNEQZAF6UCJV3E6EHQ.jpg 992w)
Monique BausJournaliste service Belgique
Publié le 10-05-2022 à 08h00 - Mis à jour le 12-05-2022 à 08h43
:format(jpg)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/2VPHIBY4CVGMFFFYR2QOJUS3WA.jpg)
"Apprendre le néerlandais n'est pas obligatoire dans l'enseignement francophone : c'est scandaleux, un manque total de respect. Le pouvoir fédéral devrait pouvoir obliger les Wallons à l'apprendre", affirmait Sammy Mahdi, secrétaire d'État à l'Asile et à la Migration et...
Cet article est réservé aux abonnés
Profitez de notre offre du moment et accédez à tous nos articles en illimité
Déjà abonné ?Connectez-vous
Sur le même sujet