La ministre Glatigny (MR) refuse la création d’un master en médecine à Mons et à Namur : “On ne peut plus se permettre de faire du sous-localisme”

En charge de l’Enseignement supérieur dans la Fédération Wallonie-Bruxelles, Valérie Glatigny estime qu’il serait néfaste et coûteux de multiplier les filières en médecine. La libérale s’attend à une contestation de sa décision mais affirme qu’elle ne changera pas d’avis.

 La ministre en charge de l’Enseignement supérieur, Valérie Glatigny, ne veut pas se précipiter sur la réforme des rythmes académiques.
La ministre en charge de l’Enseignement supérieur, Valérie Glatigny (MR), refuse de céder aux demandes de création de masters en médecine venant de Namur et de Mons. ©© Jacques Duchateau

Valérie Glatigny (MR) a tranché. Cette année, parmi les 57 demandes de création de nouveaux programmes d’études, elle n’en acceptera que 55. Le calcul est facile : deux “habilitations”, selon le terme technique, seront rejetées par la ministre de l’Enseignement supérieur. Lesquelles ? Celle remise par l’UNamur et portant sur le lancement d’un master de spécialisation en médecine générale et celle remise par l’UMons en vue de créer un master en médecine.

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