La justice de paix peine à sanctionner les propriétaires qui louent des taudis: une étude pointe l’indécence de certains bailleurs

Les locataires précaires se retrouvent captifs de ces logements insalubres.

La justice de paix peine à sanctionner les propriétaires qui louent des taudis: une étude pointe l’indécence de certains bailleurs
©AVPRESS

La fenêtre de la salle de bains condamnée ; un mur de moisissures dans la chambre des enfants ; pas d’eau chaude ; un WC qui fuit ; des radiateurs glacés… Beaucoup de locataires n’osent rien dire. Ou hésitent à saisir la justice de paix. Porter plainte, c’est risquer de perdre son chez-soi. Et mieux vaut un logement insalubre que rien du tout. Peu s’y risquent, d’autant que l’issue du combat judiciaire contre l’insalubrité tourne rarement à l’avantage des locataires. C’est en tout cas ce qui ressort d’une récente étude, très fouillée, du Rassemblement bruxellois pour le droit à l’habitat (RBDH).

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