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L’ombre d’Oussama Atar, cerveau des attentats, plane sur le procès de Bruxelles

Le principal inculpé fait défaut. L’histoire de l’homme que la Belgique a rapatrié d’Irak en 2012 et qui est devenu, deux ans plus tard en Syrie, le plus haut gradé européen de l’État islamique.

Christophe Lamfalussy
Christophe LamfalussyJournaliste

Publié le 02-12-2022 à 09h09 - Mis à jour le 02-12-2022 à 10h56

En août 2016, huit perquisitions eurent lieu à Bruxelles pour retrouver Oussama Atar, qu'on pensait avoir vu dans la capitale. Sans succès.
En août 2016, huit perquisitions eurent lieu à Bruxelles pour retrouver Oussama Atar, qu'on pensait avoir vu dans la capitale. Sans succès. ©D.R./Discriminator.be
Condamné à la perpétuité le 29 juin, en France, pour son rôle de dirigeant dans les attentats du 13 Novembre à Paris, Oussama Atar est le principal accusé du procès qui va s’ouvrir à Bruxelles. Un homme de l’ombre, énigmatique et secret, qui, bien qu’Européen,...

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