Procès des attentats de Bruxelles: la police ne peut plus exiger les génuflexions lors des fouilles des accusés

La police ne dit pas si elle se conformera dès mardi à l’arrêt.

Procès des attentats à Bruxelles - Nic Coopman décrit comme un "as" de l'automatisation technique par deux de ses collègues
Procès des attentats à Bruxelles - Nic Coopman décrit comme un "as" de l'automatisation technique par deux de ses collègues ©BELGA

C’est un arrêt, rendu lundi par la cour d’appel, qui est extrêmement clair. La cour ordonne à l’État de mettre un terme aux génuflexions imposées par la police aux accusés du procès des attentats du 22 mars à l’occasion des fouilles corporelles pratiquées lors de leurs transferts entre la prison de Haren et le Justitia où siège la cour d’assises.

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