"Il faut supprimer le Sénat tel qu’il existe aujourd’hui" : l'Open VLD ouvre le feu dans le débat institutionnel

Les libéraux flamands proposent de reconvertir le Sénat en l'ouvrant à la démocratie participative. Plus de 13 millions d'euros d'économies seraient réalisées par an.

Bruxelles - Senat: Egbert Lachaert - President de l'Open Vlaamse Liberalen en Democraten (Open VLD) et Stephanie D'Hose (Open Vld) - presidente du Senat de Belgique
©JC Guillaume

Une septième réforme de l'État est envisagée en 2024, un processus de réflexion institutionnelle a été initié par la Vivaldi. Le pacte de majorité prévoit notamment que le cas du Sénat, hémicycle en déshérence, sera réexaminé. Toutefois, les libéraux flamands ne veulent pas attendre. L'Open VLD détient la présidence de la chambre haute, un mandat qui avait été attribué à Stephanie D'Hose. Aux côtés de son président de parti, Egbert Lachaert, elle l'assure : "Je serai la dernière présidente du Sénat."

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