"C’était assez tendu" : la réforme des pensions empoisonne encore la vie de la Vivaldi

Le Premier ministre Alexander De Croo (Open VLD) a tenté de passer en force sur le dossier pensions, fustige le PS. La droite appelle à une réforme plus ambitieuse pour satisfaire les exigences de la Commission européenne. L’ambiance était pesante en kern, ce vendredi.

Le Premier ministre Alexander De Croo (Open VLD) et la ministre des Pensions Karine Lalieux (PS).
Le Premier ministre Alexander De Croo (Open VLD) et la ministre des Pensions Karine Lalieux (PS). ©Guillaume JC / PhotoNews

En aboutissant à un accord au forceps sur la réforme des pensions en juillet, l’équipe De Croo pensait se retirer une belle épine du pied. Mais voilà que cinq mois plus tard, le dossier revient subitement empoisonner la Vivaldi. La Commission européenne n’est en effet pas convaincue de la copie présentée, qui selon elle, ne contribue pas à la “soutenabilité financière” de la sécurité sociale et des finances publiques belges. L’Europe conditionne désormais l’octroi du versement d’une partie non négligeable de son plan de relance (847 millions d’euros sur les 4,5 milliards prévus pour la Belgique) à une révision de la réforme.

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...