La Belgique ne présentera pas d'excuses pour son passé colonial: ”Nous avons manqué un tournant de notre Histoire!”

Les députés de la commission Congo n’ont pas su s’accorder sur des recommandations.

Illustration picture shows damage (red painting on his hands and Pardon written on his chest and racism written on the horse) on a statue of King Leopold II of Belgium, Wednesday 10 June 2020 in Brussels near the Royal Palace. The statue has being vandalised, a protest action amidst discussions to remove all Leopold 2 statues due to the misdeeds in his personal property Congo. BELGA PHOTO THIERRY ROGE
Une photo d'illustration montre des dégâts (peinture rouge sur ses mains, pardon écrit sur sa poitrine et racisme écrit sur le cheval) sur une statue du Roi Léopold II de Belgique, mercredi 10 juin 2020 à Bruxelles près du Palais Royal. La statue a été vandalisée, une action de protestation au milieu des discussions pour retirer toutes les statues de Léopold 2 en raison des méfaits dans ses biens personnels Congo.

Clap de fin en mode très mineur pour la commission parlementaire fédérale qui s’est penchée sur le passé colonial belge qui se réunissait une dernière fois ce lundi. Cette dernière réunion devait être celle du vote des recommandations à destination du parlement. Il n’en sera finalement rien. C’était pourtant la toute dernière occasion de parvenir à un accord, puisque la commission ne peut être prolongée une troisième fois.

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