La formule magique de Vincent Van Quickenborne est-elle trop belle pour être vraie ?

LN24+ a enquêté sur les chiffres avancés par le ministre de la Justice concernant le trafic de stupéfiants au port d'Anvers.

Vincent Van Quickenborne veut saisir 20% des stupéfiants en transit au port d’Anvers, pour “casser le business de la mafia”. Un chiffre dont l’origine est introuvable et dont l’efficacité laisse à désirer.

Van Quickenborne veut une justice qui montre les dents face aux trafiquants : "Si on saisit 20 % du trafic, on casse le business de la mafia"

Véritable plaque tournante de la cocaïne en Europe, Anvers fait face à une recrudescence de la violence liée au crime organisé. Mais, le ministre l’affirme haut et fort : le seuil critique pour “casser le business de la mafia” est à portée de main. Pour rétablir la paix, il faudrait confisquer suffisamment de marchandises aux trafiquants, et les contraindre à déserter le port.

”Comme l’Italie, nous pouvons arriver à nous défaire de la mafia": où en est la Belgique dans son vaste plan de lutte contre les trafics de drogue?

Cette solution paraît belle, mais que se cache-t-il derrière ? Comment calcule-t-on ces 20% ? Sont-ils réalistes, atteignables et efficaces ?

LN24+ a mené l’enquête dans la vidéo que vous pouvez retrouver ci-dessus.

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