"Mouroir", "(trop) cher", "tristesse", "solitude" : les maisons de repos ne doivent pas devenir des copies d’hôpitaux

Comment les résidences pour personnes âgées vont-elles se relever ? Un récent colloque interrogeait "L’accompagnement bousculé des aînés". Stéphane Adam (ULg) pointe le risque d’une médicalisation accrue du secteur.

"Mouroir", "(trop) cher", "tristesse", "solitude" : les maisons de repos ne doivent pas devenir des copies d’hôpitaux
©JC GUILLAUME

Les maisons de repos vont devoir se remettre de la crise liée au Covid-19. Il ne leur fallait pas ça. L’épidémie a chamboulé un secteur gériatrique déjà sous forte tension avant l’arrivée du coronavirus. L’irruption du coronavirus a exacerbé des réalités complexes et (re)mis en lumière les besoins multiples des résidents, des proches et des professionnels, souligne la coordination Infor-Homes/Home-Info. Mais, à côté des témoignages d’angoisse, de tristesse et de révolte, on a aussi vu apparaître des initiatives inspirantes et solidaires.

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