Les victimes de violences sexuelles sortent de l’ombre: "Elles arrivent maintenant sans discontinuer"

Les témoignages de viols dans le quartier estudiantin d’Ixelles ont accru la visibilité du Centre de prise en charge bruxellois.

Jeudi dernier, 1 300 personnes ont défilé à Ixelles pour dénoncer “la culture du silence” autour des violences sexuelles dénoncées dans deux bars estudiantins.
Jeudi dernier, 1 300 personnes ont défilé à Ixelles pour dénoncer “la culture du silence” autour des violences sexuelles dénoncées dans deux bars estudiantins. ©Ennio Cameriere

Effet conjugué de la fin du confinement, de la rentrée dans les universités et hautes écoles, de la réouverture des bars et discothèques et d'un tabou qui a sauté sur la culture du viol ? Le Centre de prise en charge des violences sexuelles (CPVS) de Bruxelles a connu, au cours des dernières semaines, une hausse du nombre de victimes, indiquait lundi Sarah Schlitz, secrétaire d'État à l'Égalité des genres (Écolo) au micro de La Première (RTBF).

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