“Après une ligne de cocaïne, on se sent le roi du monde !” Mais la descente, pénible, arrive très vite. Et on reprend un rail…

Les symptômes de dépendance à la cocaïne sont principalement psychologiques. Des consommateurs occasionnels, qui pensent gérer, perdent soudain le contrôle et deviennent accros.

 Images d’illustration - cocaïne
©PHOTOPQR/LA MONTAGNE/MAXPPP

Un petit tas de poudre blanche, déjà finement hachée au couteau, sur l’écran du Smartphone ou un miroir de poche. Une carte de banque pour la répartir en lignes – on dit aussi des rails. Une paille ou un billet de 20 euros roulé introduit dans une narine. Aspiration. C’est le rituel, quasi immuable, des “sniffeurs” de cocaïne. Ils consomment plutôt en groupe, dans un bar ou en boîte, ou chez eux, entre amis. Un usage dit “récréatif”. La cocaïne (en poudre) est aussi devenue une habitude dans certains milieux professionnels : on en prend entre collègues pour finir un boulot en urgence ou se détendre après un gros coup de feu.

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...