Le français est-il menacé par l’anglais à Bruxelles? "Il y a une forme de renoncement francophone"

Pour Jean-Paul Nassaux, historien et politologue, l’arrivée de Rudi Vervoort (PS) comme ministre-président bruxellois a été “le tournant politique” sur l’usage de l’anglais, au lieu du français.

Port de Bruxelles : bateau, tourisme, canal.
Pour Jean-Paul Nassaux, historien et politologue, l’arrivée de Rudi Vervoort (PS) comme ministre-président bruxellois a été “le tournant politique” sur l’usage de l’anglais, au lieu du français.

La langue française est-elle menacée par la toute-puissance de l’anglais ? C’est la théorie soutenue par Jean-Paul Nassaux, historien et politologue, dans la revue française “les cahiers de psychologie politique”. Cet article intitulé “le recul de la francophonie”, engagé mais abondamment sourcé, s’est intéressé à la situation de la langue de Molière dans les instances européennes, dans le monde scientifique et académique mais aussi, en particulier, à Bruxelles.

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...