Plus de la moitié des enfants qui quittent un service résidentiel d’aide à la jeunesse retournent dans leur famille

Mais les trois quarts des 3 400 jeunes qui ont été placés (au moins un jour) en 2022 dans ces structures d’hébergement y sont toujours. Pourquoi ? Y restent-ils trop longtemps ? La ministre Glatigny a lancé une étude pour comprendre la situation.

Une vaste campagne de collecte de téléphones mobiles usagés a été lancée, dans l'entité brabançonne wallonne de Ramillies. 

Les écoles fondamentales de Wallonie sont invitées à participer à une opération portée par les opérateurs Proximus et Recupel, ainsi que la fondation GoodPlanet Belgium, avec le soutien du ministère wallon de l'Environnement.
   Une première action a été menée vendredi à l'école Saint-Jean-Baptiste de Huppaye.
   Jusqu'à la fin de l'année civile 2023, des ateliers seront organisés dans 126 établissements scolaires wallons. Il s'agit de collecter les portables usagés dans ces écoles et de sensibiliser les enfants à l'impact de l'utilisation d'appareils électriques et électroniques.
©Mathieu Golinvaux

Quand les crises (sanitaire, écologique, énergétique, économique… ) se succèdent et s’additionnent, les enfants trinquent. Un indice ? Le nombre de jeunes francophones en danger ou en difficulté pris en charge par l’Aide à la jeunesse a sensiblement augmenté (+4,5 %) entre janvier 2019 et septembre 2022, selon les chiffres de l’administration générale du secteur. La hausse est même trois fois plus forte à Bruxelles.

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