Plus que trois mois à vivre… Pas simple d’ajuster les aides aux besoins des patients palliatifs qui restent à domicile

Le Centre fédéral d’expertise des soins de santé (KCE) s’est penché sur la problématique sans parvenir à identifier une solution idéale. Le rapport publié ce jeudi trace quelques pistes de réflexion à l’attention des politiques.

Plus que trois mois à vivre… Pas simple d’ajuster les aides aux besoins des patients palliatifs qui restent à domicile
©Reporters/BSIP

Comment, face à un malade en fin de vie, évaluer le nombre de jours, de semaines ou de mois au bout desquels il rendra son dernier souffle ? Exercice périlleux pour les médecins. La loi belge ne s’y est pas hasardée : un patient est considéré comme palliatif quand il se trouve à un stade avancé ou terminal d’une maladie grave, peu importe le temps qu’il lui reste à vivre. La plupart des patients concernés souhaitent rester chez eux, dans leur environnement familier. Les soins palliatifs à domicile ont pour objectif de leur assurer une qualité de vie la plus optimale possible par un soutien physique, psychologique, social, spirituel… qui s’adapte à mesure que les besoins, souhaits et préférences progressent.

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