Où sont passées les piqûres sauvages en boîte de nuit ? Un an après, la thèse de "l’hystérie collective" privilégiée

Aucun suspect n'a jamais été arrêté et aucune seringue retrouvée malgré les nombreuses plaintes. Le criminologue Michael Dantinne privilégie la thèse bien connue en criminologie de l’induction psychologique pour expliquer le phénomène des seringues hypodermiques en milieu festif. Explications.

Aucun suspect n'a jamais été arrêté et aucune seringue retrouvée malgré les nombreuses plaintes. Le criminologue Michael Dantinne privilégie la thèse bien connue en criminologie de l’induction psychologique pour expliquer le phénomène des seringues hypodermiques en milieu festif. Explications.
Aucun suspect n'a jamais été arrêté et aucune seringue retrouvée malgré les nombreuses plaintes. Le criminologue Michael Dantinne privilégie la thèse bien connue en criminologie de l’induction psychologique pour expliquer le phénomène des seringues hypodermiques en milieu festif. Explications. ©Copyright (c) 2015 Pressmaster/Shutterstock. No use without permission.

Il y a un an, les témoignages faisant état de piqûres sauvages administrées à des victimes en milieu festif affluaient. Les symptômes allaient des vertiges aux évanouissements en passant par des vomissements. La problématique a été prise au sérieux par les autorités et des mesures spécifiques ont été prises dans les boîtes de nuit et festivals sans qu’aucun cas n’ait pourtant été avéré.

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