Libération d'Olivier Vandecasteele : de larges zones d’ombre persistent après le retour de l'humanitaire belge

Le gouvernement a contourné le traité de transfèrement. "C’était un dilemme très difficile", selon le Premier ministre.

Pourquoi le gouvernement a-t-il recouru à l’article 167 de la Constitution, plutôt que la procédure fondée sur le traité de transfèrement, dans le cadre de la libération d’Iran de l’otage belge Olivier Vandecasteele en échange du diplomate iranien condamné en Belgique pour terrorisme, Assadolah Assadi ? Le Premier ministre Alexander De Croo (Open VLD) s’en est expliqué dimanche, sur RTL-TVi, au départ des 20 kilomètres de Bruxelles.

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