"Entre colère et désillusion" : en Wallonie, le secteur de l’intégration des étrangers attend sa réforme

Les opérateurs du parcours d’intégration avancent parfois sur fonds propres, sans certitude de recevoir leurs subsides.

Apprendre le français est, selon les personnes réfugiées, primordial dans leur parcours d’intégration.
Apprendre le français est, selon les personnes réfugiées, primordial dans leur parcours d’intégration. ©ÉdA – 301215349482

Au sud du pays, le parcours d’intégration est obligatoire pour les primo-arrivants depuis 2016. Il pourrait toutefois être menacé, faute de financements des associations de terrain. C’est le message lancé par les fédérations du secteur de l’intégration des étrangers en Wallonie. Elles redoutent la mise à mal de leur mission dans les prochains mois.

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