À l’occasion de la journée internationale du bonheur ce samedi, l’Université de Gand s’est intéressée à l’impact de la crise sanitaire et du confinement sur l’épanouissement des Belges.
En collaboration avec l’assureur-vie NN, les nouveaux résultats de l’Enquête nationale du Bonheur révèlent que la satisfaction à l’égard de nos contacts sociaux et notre niveau moyen de bonheur ont fortement diminué.
Toutefois, l’étude montre aussi que les contacts que les Belges entretiennent sont en moyenne plus chaleureux. Le pourcentage de Belges qui ont ressenti un fort sentiment d’appartenance (sociale) est passé de 33 % avant la crise à 41 % lors de la deuxième vague.
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