" Mon fils a enfin reçu le remboursement de ses séances de kiné. Il l’a attendu pendant un mois et demi. Il y en avait pour plusieurs centaines d’euros." Cette situation, vécue par un affilié de la mutualité chrétienne Saint-Michel à Bruxelles et dont on peut imaginer les conséquences sur des personnes à revenu modeste, n’est pas un cas isolé. "Comme beaucoup d’entreprises, nous sommes affectés par la crise sanitaire, reconnaît Arnaud Gorgemans, directeur de la mutualité Saint-Michel.