Comment le site du Cinquantenaire veut se métamorphoser pour 2030

Recouvrir la trémie, l’autoroute urbaine qui coupe le parc du Cinquantenaire en deux, et créer un grand dépôt visitable d’œuvres : ce sont deux pistes évoquées par ce projet très ambitieux.

Le Cinquantenaire se prépare pour le Bicentenaire de la Belgique.
Le Cinquantenaire se prépare pour le Bicentenaire de la Belgique. ©Saskia Vanderstichele

Ce jeudi, l’auditoire du musée d’Art et d’Histoire au Cinquantenaire était bondé. Tous les partenaires et les experts étaient là, liés au grand Projet 50-200 de faire Cinquantenaire, un site du Bicentenaire de la Belgique en 2030 : créer un “nouveau phare socioculturel de la Belgique”, annoncé comme “le projet patrimonial le plus ambitieux d’Europe”. Avec une pléiade d’autorités sur la scène : les ministres fédéraux et bruxellois concernés, les bourgmestres des communes impliquées, jusqu’au commissaire européen au Budget, Johannes Hahn. Une manière de montrer l’engagement collectif pour ce projet, y compris de la Commission européenne dont les bureaux jouxtent le parc. Mais une preuve aussi de la difficulté qu’il y aura de coordonner autant d’acteurs.

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...