Par Charles Roquin, un double meurtre au Festival de Bayreuth

Charlie Roquin nous donne un roman original, cocktail de musique, de suspens, de wagnérisme et d’humour. Critique de "Les maîtres de Bayreuth".

Jacques Franck
Charlie Roquin.
Charlie Roquin. ©Le Cherche Midi

Qui aurait prévu que le Festival de Bayreuth serait, un jour, le théâtre d'un double meurtre ? Personne, bien entendu. Personne, sauf Charlie Roquin, jeune romancier parisien, déjà auteur de deux romans, Metadata, critique du monde de l'entreprise, et Le Roi, dans lequel il imagine le succès d'un prétendant au trône de France, descendant de Charles X. Cette fois, il nous donne un récit d'une imagination diabolique, d'une érudition wagnérienne époustouflante, assaisonné de touches d'humour comme trempées dans la théière d'Agatha Christie. Mon écriture, dit-il, est à la frontière du sérieux et de l'humour, du crédible et de l'absurde.

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