Pascale Marthine Tayou réfléchit le monde

Foisonnante, ludique et politique exposition d’été au palais des Beaux-Arts.

Guy Duplat
Pascale Marthine Tayou réfléchit le monde

Dès l’entrée de Bozar à Bruxelles, le ton est donné avec "Africonda", énorme serpent de tissus colorés, lové sur lui-même, avec ses piques de bois et ses masques. Sculpture joyeuse, très africaine et mystérieuse. Elle représente le monde et nous regarde : que faisons-nous de cette Terre ? Quels actes y faisons-nous qui nous reviendront dans la figure comme un "Boomerang" (le titre de cette exposition d’été de Pascale Marthine Tayou, lire la rencontre avec l’artiste dans "La Libre" du 15 juin dernier).

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