A Bilbao, Jeff Koons lave plus blanc

Une présentation sans effets ni redondances, qui offre à l’artiste américain une mise en abyme ludique et idéale.

Roger Pierre Turine à Bilbao
A Bilbao, Jeff Koons lave plus blanc

Tout au long d’un livre passionnant (1), parce que révélateur et fourmillant de détails, bel objet sur le devant duquel l’on voit un Koons tout sourire, homard monumental, rouge et jaune, sous le bras, Norman Rosenthal pose à l’artiste les bonnes questions.

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