Les sculptures d’Isabelle Andriessen : dystopie et bactéries
Les sculptures d’Isabelle Andriessen rejettent leur condition statique et revendiquent leur propre évolution.
Publié le 15-01-2020 à 15h19
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Quelles que soient leurs disciplines, les artistes confient volontiers qu’une fois l’œuvre terminée, elle est naturellement amenée à vivre en toute indépendance de son créateur. C’est dans l’ordre des choses, un peu comme ces enfants qui mènent leur vie loin de leurs parents, lesquels ne se sentant pas dépossédés
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