Ernest Pignon-Ernest, substrats de l’éphémère

Comme autant de silhouettes fantomatiques rappelant la présence des hommes, les fascinants dessins d’Ernest Pignon-Ernest conservent la mémoire de notre temps.

Gribaumont Gwennaëlle
Ernest Pignon-Ernest, substrats de l’éphémère
©Ernest Pignon-Ernest / Laurentin Gallery

Après sa présentation - sensation ! - au Botanique, Ernest Pignon-Ernest est de retour à Bruxelles. Le lumineux espace de la galerie Laurentin réunit quelque soixante œuvres - photographies, dessins au fusain pierre et à l’encre noire - qui évoquent quelques-unes de ses grandes interventions des années 2000 : les "Extases", le travail dans les prisons avec "Ecce homo" et les "yoyos", complétés de réalisations sur les poètes Pasolini et Desnos.

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...