Au musée juif, une très belle exposition, pleine d’humanité, du photographe Assaf Shoshan.
Comment rendre par la photographie des sentiments aussi profonds que le déracinement, la fragilité ou la rupture ? Le photographe et vidéaste israélien Assaf Shoshan, vivant à Paris, passé par la villa Médicis à Rome, réussit cette gageure avec un travail tout en subtilité et émotion humaine.
Son exposition au musée juif de Belgique à Bruxelles, émeut en nous confrontant à tous ces anonymes du monde qu’on croise sans jamais les voir, à leur quête d’identité, à leur sentiment de l’exil et de l’appartenance.