Vincent Kesteloot

Polyvalent. Aux côtés de Ben Stassen, on trouve à la réalisation de "Sammy 2" Vincent Kesteloot. Le coréalisateur de 41 ans n’est pas un total inconnu dans le petit monde de l’animation belge. Né à Lille en 1971, il s’est fait remarquer dès ses années d’études à l’Ecole nationale supérieure des arts visuels (ENSAV) de la Cambre, à Bruxelles, au mitan des années 1990. A l’instar de ses condisciples, il y expérimente de nombreuses techniques, multipliant les supports dans ses courts métrages d’étudiants - peinture, gravure, plume sur papier, photos découpées, ombres chinoises. De son passage à La Cambre, on retient le diptyque "Autopsie du désir", avec "Le chant des sirènes" (1996) et "L’apprentissage du péché" (1997). Ce maître de la composition, par ailleurs artiste érudit, surprend alors son monde abandonnant son cursus en cours de quatrième année pour accepter un job d’animateur chez Nozon, studio bruxellois alors actif dans la publicité. Un choix payant : Vincent Kesteloot se forge une expérience d’animateur infographique, qui lui permet d’intégrer nWave lors de la production de "Fly me to the Moon".

Polyvalent. Aux côtés de Ben Stassen, on trouve à la réalisation de "Sammy 2" Vincent Kesteloot. Le coréalisateur de 41 ans n’est pas un total inconnu dans le petit monde de l’animation belge. Né à Lille en 1971, il s’est fait remarquer dès ses années d’études à l’Ecole nationale supérieure des arts visuels (ENSAV) de la Cambre, à Bruxelles, au mitan des années 1990. A l’instar de ses condisciples, il y expérimente de nombreuses techniques, multipliant les supports dans ses courts métrages d’étudiants - peinture, gravure, plume sur papier, photos découpées, ombres chinoises. De son passage à La Cambre, on retient le diptyque "Autopsie du désir", avec "Le chant des sirènes" (1996) et "L’apprentissage du péché" (1997). Ce maître de la composition, par ailleurs artiste érudit, surprend alors son monde abandonnant son cursus en cours de quatrième année pour accepter un job d’animateur chez Nozon, studio bruxellois alors actif dans la publicité. Un choix payant : Vincent Kesteloot se forge une expérience d’animateur infographique, qui lui permet d’intégrer nWave lors de la production de "Fly me to the Moon".

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