"Maps to the Stars": Hollywoodopolis
Après Wall Street dans "Cosmopolis", Cronenberg se livre à une satire de l’usine à rêves. Plus effrayante que drôle. Pour le réalisateur, "le monde du cinéma est incestueux en ce qu’il est très limité même si sa diffusion est mondiale". Critique et entretien.
Fernand Denis
Publié le 29-07-2014 à 14h55 - Mis à jour le 29-07-2014 à 15h20
/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/X35QA7Z4ZBH57DYRFOFCL2PZCE.jpg)
Après Wall Street dans "Cosmopolis", Cronenberg se livre à une satire de l’usine à rêves. Plus effrayante que drôle. Pour le réalisateur,...
Cet article est réservé aux abonnés
Profitez de notre offre du moment et accédez à tous nos articles en illimité
Déjà abonné ?Connectez-vous