Fespaco : que faut-il retenir du palmarès de cette 26e édition mouvementée?

Rwandese film Director Joel Karekezi holds up the Yennega Stallion trophy as he celebrates after winning the 26th Pan-African Film and Television Festival (FESPACO) at the Sports Palace in Ouagadougou on March 2, 2019. - Africa's biggest film festival is marking its 50th anniversary, buoyed by its contributions to the continent's cinema industry but overshadowed by security concerns in host country Burkina Faso. (Photo by ISSOUF SANOGO / AFP)
Rwandese film Director Joel Karekezi holds up the Yennega Stallion trophy as he celebrates after winning the 26th Pan-African Film and Television Festival (FESPACO) at the Sports Palace in Ouagadougou on March 2, 2019. - Africa's biggest film festival is marking its 50th anniversary, buoyed by its contributions to the continent's cinema industry but overshadowed by security concerns in host country Burkina Faso. (Photo by ISSOUF SANOGO / AFP) ©AFP

Cette année, le Festival panafricain du cinéma et de la télévision (Fespaco) fêtait son 50e anniversaire. Sa 26e édition s’est clôturée, ce samedi à Ouagadougou. Avec l’Étalon d’or remis à la coproduction belgo-franco-rwandaise "The Mercy of the Jungle". L’histoire du Festival panafricain de cinéma et de télévision de Ouagadougou (Fespaco) retiendra cette belle ironie : le Rwanda a remporté le prix le plus prestigieux de la catégorie fiction avec son tout premier film présenté en compétition au Burkina Faso, la Mecque du cinéma africain. Et cela, sans que le pays des 1000 collines soit doté d’une véritable industrie du cinéma, ni ne dispose d’aucun fonds dédié. Cette victoire est due à la ténacité d’une poignée d’hommes et de femmes rwandais, mais surtout à la mobilisation de deux producteurs, un Belge et un Français, et à l’engagement d’un acteur belge originaire de RDC, Marc Zinga, sacré meilleur interprète masculin samedi soir à Ouaga.

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