Les grandes lignes de la 34e édition du Fiff
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Publié le 12-09-2019 à 11h13 - Mis à jour le 18-09-2019 à 09h58
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Les grandes lignes de la 34e édition du Festival du film de Namur, qui se déroulera du 27 septembre au 4 octobre.Laetitia Casta en coup de cœur, Chiara Mastroianni en ouverture, Charlotte Gainsbourg en compétition, André Téchiné en président du jury : pour sa 34e édition, le Festival du film francophone de Namur (Fiff) s’est offert un casting d’édition anniversaire. Car on attend aussi Sami Bouajila, Pierre Deladonchamps, Swann Arlaud, Arnaud Desplechin, Christophe Lambert…
Cette édition propose quelques nouveautés. Ainsi, ce n’est pas en solo que la déléguée générale, Nicole Gillet, a présenté les grandes lignes de l’événement, mais en duo avec le programmateur attitré du festival. Hervé Le Phuez a su mettre en appétit en présentant sa sélection définie en trois mots : engagée, fantaisiste et féminine.
Bien sûr, les vedettes d’un festival de cinéma, ce sont les longs métrages, répartis, à Namur, en trois grandes sections. La compétition où Adoration de Fabrice Du Welz sera en lice avec onze autres films dont Roubaix, une lumière d’Arnaud Desplechin, Matthias et Maxime de Xavier Dolan, Notre-Dame de Valérie Donzelli ou encore Chambre 212 de Christophe Honoré, projeté en ouverture.
Le nouveau programmateur s’est montré efficace pour faire passer l’envie de suivre la "Compétition 1re œuvre de fiction", de découvrir Perdrix d’Erwan Le Duc, Revenir de Jessica Palud, projeté en clôture, Une colonie, comédie québécoise primée à Berlin ou Nuestras Madres, la Caméra d’or de César Diaz.
Les films hors compétition, on les appelle désormais les "Pépites" à Namur. Et on ne saurait mieux dire à propos d’Alice et le maire de Nicolas Pariser avec Fabrice Luchini et on l’espère pour l’adaptation par Yvan Attal du classique de John Fante, Mon chien stupide. Ou pour ce que Cécile de France considère comme l’expérience majeure de sa carrière : Un monde plus grand de Fabienne Berthaud.
Deux autres compétitions sont organisées avec des courts métrages, l’une internationale et l’autre nationale. Une section est réservée aux documentaires et puis le festival n’est pas qu’un diffuseur, il entend être aussi un moteur dans la production avec quantité de rencontres et d’ateliers.