William Cliff dans l’Enfer de Dante

Le poète belge nous en livre une traduction fluide en décasyllabes rythmés.

Jacques Franck

Un de nos poètes les plus originaux et les plus profondément humains, William Cliff, nous offre un cadeau merveilleux : sa traduction de l’Enfer de Dante. Nous étions sans nouvelles de lui, et pour cause : il était en voyage. Et quel voyage ! Celui-là même que le poète florentin entreprit, le 18 avril 1300, jour du Vendredi saint, et qui le fera descendre, guidé par Virgile, dans une sorte d’entonnoir creusé au sein de la terre par la chute de l’ange rebelle Lucifer : l’Enfer.

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