La prison d’un pervers narcissique
Eric Reinhardt signe un des plus beaux romans de cette rentrée littéraire avec "L’amour et les forêts". Un livre, en apparence, aux antipodes de son précédent, "Le système Victoria".
Publié le 17-08-2014 à 17h37 - Mis à jour le 18-08-2014 à 10h56
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Eric Reinhardt signe un des plus beaux romans de cette rentrée littéraire avec "L’amour et les forêts". Un livre, en apparence, aux antipodes de son précédent, "Le système Victoria". Dans ce dernier, on suivait les pas d’une femme du XXIe siècle, battante et ogresse. Ici, il
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