Virgile comme vous ne l’avez jamais entendu

Frédéric Boyer signe une nouvelle traduction des "Géorgiques" de Virgile, qu’il renomme "Le Souci de la terre". Une manière de se focaliser sur ce que ce texte a encore à nous dire et de mieux percevoir la force de son héritage.

Apis mellifera / Abeille sur bourrache / Borago officinalis. ©HEGO L/HorizonFeatures/Leemage Reporters / Leemage
Apis mellifera / Abeille sur bourrache / Borago officinalis. ©HEGO L/HorizonFeatures/Leemage Reporters / Leemage ©Reporters / Leemage

Frédéric Boyer signe une nouvelle traduction des "Géorgiques" de Virgile, qu’il renomme "Le Souci de la terre". Une manière de se focaliser sur ce que ce texte a encore à nous dire et de mieux percevoir la force de son héritage. Écrivain, traducteur - on lui doit notamment d’avoir orchestré une nouvelle traduction de la Bible par des écrivains (Bayard, 2001) - et éditeur, Frédéric Boyer signe une nouvelle traduction des Géorgiques de Virgile. Sous sa plume, ce long poème devient Le Souci de la terre, un titre qui ne peut que nous toucher à l’heure où tous les voyants concernant notre planète clignotent. Véritable chant du monde, ce texte composé de quatre livres prend appui sur ses thèmes (travaux des champs, vignes, animaux et abeilles) pour s’ouvrir à une ample réflexion sur l’état du monde. Il y est donc aussi question de guerre, de finitude, de fuite du temps.

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