Jonathan Coe a pris le pouls humain de l’Angleterre
Si sa plume s’est exprimée dans différentes tonalités ( La maison du sommeil et La pluie, si elle tombe tranchent ainsi singulièrement), Jonathan Coe demeure l’une des voix les plus virtuoses de la satire made in England. D’abord avec Testament à l’anglaise, inoubliable peinture cinglante des années Thatcher, ensuite avec Bienvenue au Club puis Le Cercle fermé, il est devenu le portraitiste malicieux, tendance ironique, de ses compatriotes.
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Geneviève SimonJournaliste
Publié le 28-08-2019 à 10h11 - Mis à jour le 28-08-2019 à 15h05
Si sa plume s’est exprimée dans différentes tonalités (La maison du sommeil et La pluie, si elle tombe tranchent ainsi singulièrement), Jonathan Coe demeure l’une des voix les plus virtuoses de la satire made in England. D’abord avec Testament à l’anglaise, inoubliable peinture cinglante des années Thatcher, ensuite avec Bienvenue au Club puis Le Cercle fermé,...
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