Quand on a bien vécu, on quitte ce monde en toute quiétude

"Se réjouir de la fin", un journal tout en délicatesse imaginé par le Suisse Adrien Gygax. Dans l’intimité d’un nonagénaire, veuf, sans enfant, qui entre dans une maison de retraite, condamné par la maladie.

Quand on a bien vécu, on quitte ce monde en toute quiétude
© Tonatiuh Ambrosetti

Se réjouir de la fin est un délicieux, tendre et délicat journal intime d'une infinie sagesse et d'une extrême délicatesse tenu, grâce à la plume imaginative du romancier suisse Adrien Gygax, par un nonagénaire qui entre dans une maison de retraite.

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