Pourquoi "Vingt-quatre heures de la vie d’une femme" me touche tant
Des artistes, des journalistes nous livrent un coup de coeur culturel, quelque chose qui les a changés, qui fait encore écho en eux. Ce lundi, Laurence Bertels, journaliste à "La Libre Belgique", partage son avis sur le roman de Stefan Zweig, Les Vingt-quatre heures de la vie d’une femme.
Publié le 13-07-2020 à 11h02 - Mis à jour le 14-07-2020 à 17h10
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