Florent Marchet : "J’ai passé une grande partie de ma vie à la campagne"

Dans "Le monde du vivant", son premier roman, l'auteur, compositeur et interprète Florent Marchet parle particulièrement bien du monde agricole. Ce n’est pas un hasard. il est petit-fils d’agriculteurs.

Florent Marchet : "J’ai passé une grande partie de ma vie à la campagne"
©Eric Caravaca

Auteur compositeur et interprète de cinq albums solo (dont Courchevel), compositeur de musique de films, compositeur (pour Sylvie Vartan, Axelle Red, Clarika, Benabar parmi d’autres), Florent Marchet a toujours eu l’envie d’écrire un roman. « On va dire que cela ne m’a jamais quitté. Quand j’étais adolescent, j’avais déjà une idée assez précise de ce que je voulais faire dans la vie. A savoir : ne pas avoir de patron, être assez libre de créer, de m’exprimer en tout cas. Pour moi, la vie n’avait de sens que si j’étais vraiment là où j’avais envie d’être. Ecrire des histoires et des musiques de films: c’étaient les deux choses qui m’animaient » raconte Florent Marchet dont le premier roman, Le monde du vivant, vient de sortir. Si l’envie d’écrire au long cours le titille, qu’il participe à des projets de livres disques et réalise des lectures musicales (Nicolas Mathieu, Véronique Ovaldé), il associait l’écriture romanesque à quelque chose d’élitiste. « J’aimais beaucoup lire, j’écrivais des nouvelles dans mon coin, sans aller au-delà. De temps en temps, je prenais des extraits de nouvelles que je mettais en musique, mais cela s’arrêtait là », confie-t-il alors qu’on le joint par téléphone dans la banlieue parisienne où il réside.

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