L’Intime festival a résisté avec panache

Le public a répondu présent à une édition pas comme les autres.

L’Intime festival a résisté avec panache
©Marie-Valentine Gillard

Vent Debout : l’ASBL qui chapeaute l’Intime festival n’a jamais si bien porté son nom tant sa 8e édition, qui s’est tenue ce week-end à Namur, a dû affronter plus d’une secousse. Jauges réduites (2 000 spectateurs ont été accueillis, contre une moyenne de 5 000 les autres années - quand les principales rentrées viennent de la billetterie), contraintes sanitaires en constante évolution, diminution inopinée de subsides : la succession d’embûches n’a pas entamé la détermination de l’équipe. En point d’orgue de son exercice d’admiration envers Olga Tokarczuk, Philippe Vauchel a d’ailleurs remercié l’Intime festival "d’être et de faire", soit d’avoir pris la responsabilité, "peu importent les conditions dans lesquelles cela se déroulerait, de faire quelque chose".

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