Vingt-quatre heures de la vie d’une jeune femme

À vingt-quatre ans, Shane Haddad signe un premier roman électrisant, portrait actuel d’une étudiante.

Vingt-quatre heures de la vie d’une jeune femme
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Shane Haddad n’a que vingt-quatre ans. Toni tout court, son premier roman, elle l’a écrit dans le cadre du master Création littéraire organisé par l’université du Havre - institution pionnière en ce domaine. Et ce qui frappe d’emblée, c’est son écriture directe, tout en phrases courtes, qui dégage une énergie folle. Comme une balle de flipper, les images, les sensations, les flashs de souvenirs rebondissent à grande vitesse dans la tête de Toni. Ce jour-là est celui de ses vingt ans. Mais pour elle, pas de fête prévue, pas de cadeaux ni de surprises, juste un rendez-vous manqué avec son père. Alors, pour combattre le vide et les pensées dérangeantes, elle se focalise sur un objectif : le match de foot auquel elle ne manquera pas d’assister dans la soirée. "Être supporter c’est comme faire partie d’un amour tragique."

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