Dermot Bolger rend hommage à Sheila Goold Verschoyle, une femme déterminée à vivre
Libre et sans artifices, telle fut Sheila Goold Verschoyle, à qui Dermot Bolger rend hommage dans une fiction enlevée.
:format(jpg)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/HFBA3R3DIZB77AD5I4QZBPFCC4.jpg)
:format(jpg)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/E6MO3VJKEVBYJDL44TCZGJOZFU.jpg 480w,https://www.lalibre.be/resizer/AWAppts_OzK4Dzugwdg23Qu56x4=/480x480/smart/filters:quality(70):format(jpg)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/E6MO3VJKEVBYJDL44TCZGJOZFU.jpg 992w)
Geneviève SimonJournaliste
Publié le 26-01-2022 à 14h01 - Mis à jour le 28-01-2022 à 13h18
Paru en 2008 et consacré à l'histoire tumultueuse, intime et politique, de la famille Goold Verschoyle des années 1915 à 1930, Toute la famille sur la jetée du Paradis nous avait éblouie. Que Dermot Bolger (Finglas, 1959) reprenne un des personnages de cette famille ancrée dans le Donegal, au nord de l'Irlande, est donc prometteur. L'on retrouve Eva, épouse Fitzgerald, à l'aube des années 1950. À quarante-six ans, "consciente qu'en dehors du bonheur d'être mère sa vie était un mensonge", elle décide de se libérer d'un mariage en déliquescence...
Cet article est réservé aux abonnés
Profitez de notre offre du moment et accédez à tous nos articles en illimité
Déjà abonné ?Connectez-vous
Sur le même sujet