La vie ne tient qu’à un fil (ou à un rocher)
Margaret Kennedy aussi espiègle que savoureuse dans un roman qui dépeint notamment l’immédiate après-guerre.
:format(jpg)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/E6MO3VJKEVBYJDL44TCZGJOZFU.jpg 480w,https://www.lalibre.be/resizer/AWAppts_OzK4Dzugwdg23Qu56x4=/480x480/smart/filters:quality(70):format(jpg)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/E6MO3VJKEVBYJDL44TCZGJOZFU.jpg 992w)
Geneviève SimonJournaliste
Publié le 26-04-2022 à 15h56 - Mis à jour le 26-04-2022 à 16h06
:format(jpg)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/VEYFWVOMPBGGZASRELLJCUYJOQ.jpg)
Voici un roman comme seule l'Angleterre peut nous en offrir : aussi allègre que mordant, aussi espiègle que savoureux. Paru en Angleterre en 1950 et en France une année plus tard mais depuis longtemps épuisé, Le festin (The Feast) de Margaret Kennedy (1896-1967) est aujourd'hui réédité dans une traduction remaniée. Celle qui avait connu le succès dès 1924 et la parution de son deuxième roman, La Nymphe...
Cet article est réservé aux abonnés
Profitez de notre offre du moment et accédez à tous nos articles en illimité
Déjà abonné ?Connectez-vous