"Mon bel animal", le roman sulfureux de la rentrée que l’on compare déjà à "Lolita"
Partiellement autobiographique, "Mon plus bel animal" va à contre-courant de la vague MeToo. Sulfureux, le roman de Marijke Lucas Rijneveld donne voix au prédateur. Rencontre avec celui qu’on surnomme "le nouveau prodige des lettres européennes".
Publié le 23-08-2022 à 13h01 - Mis à jour le 26-08-2022 à 14h26
/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/OQ2YCOY3HJHEPGS7ZTRJSMCKFY.jpg)
Chemise blanche et noire, lavallière, cheveux longs coupés à la garçonne, Marieke Lucas Rijneveld (Nieuwendijk, 1991) quitte la moiteur de la campagne hollandaise qui charge l'atmosphère de Mon bel animal pour affronter, fin juin, la canicule parisienne...
Cet article est réservé aux abonnés
Profitez de notre offre du moment et accédez à tous nos articles en illimité
Déjà abonné ?Connectez-vous