Les lettres pudibondes et rasoir de Zweig

De 1934 à 1940, l’auteur autrichien a régulièrement écrit à celle qui allait devenir sa seconde femme, Lotte.

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©D.R.

Quelle déception de découvrir des lettres si ternes du romancier absolu des excès passionnels… Adressées par Stefan Zweig à Lotte Altmann, sa seconde femme, elles sont particulièrement rasoir. À la lecture de ces courriers au ton guindé, on n’apprend presque rien de l’intensité d’une relation amoureuse et intellectuelle qui s’achèvera en 1942 à Petropolis, au Brésil, par un double suicide.

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