Il se fait rare sur les antennes publiques et privées et dans la presse écrite, mais sa quête acharnée de la perfection dans toutes ses entreprises audiovisuelles et éditoriales reste gravée dans bien des mémoires. Petit bonheur récurrent : il a gardé une belle plume qui s’est frottée à tous les genres littéraires défendant et illustrant la langue française. Et ce n’est pas fini, puisqu’aujourd’hui, il se passionne pour les… haïkus !
On rend grâce à Jacques Mercier d’avoir couché sur papier son parcours professionnel et personnel entamé dans les années 50.