Il faut toujours être ivre, écrit le poète. Or, en ce moment, le capitaine Haddock ne l’est pas. Du tout. Ça l’énerve. "Brutes ! flibustiers ! moules à gaufres ! écraseurs ! autodidactes ! Qu’est-ce qui m’a pris de faire le ‘Dry January’(1), mille sabords ! ?" jure-t-il, la barbe et les cheveux blancs. Sur le pont de son navire, le Karaboudjan, qu’il a racheté pour le transformer en musée à la mémoire de ses aventures avec ses amis, il se roule en boule.
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