Les valeurs "écolo-gaucho" de Joëlle Scoriels

Dans leur dernier numéro en date, nos confrères de Paris Match ont rencontré Joëlle Scoriels, visage bien connu du paysage audiovisuel noir-jaune-rouge. Habituellement discrète sur ce terrain, elle s'aventure à quelques confessions politiques.

La rédaction en ligne

Dans leur dernier numéro en date publié ce jeudi, nos confrères de Paris Match ont rencontré Joëlle Scoriels, visage bien connu du paysage audiovisuel noir-jaune-rouge. Celle qui fut sacrée personnalité télévisuelle préférée des Belges en 2012 voit aujourd'hui son émission «Sans Chichis» cartonner côté audiences et déclinée sous forme de face-à-face de 69 minutes avec un invité. En attendant d'y voir défiler ses prochains invités – d'Elio Di Rupo à Bastian Baker en passant par François-Xavier Demaison, Kev Adams ou Axelle Red, tous déjà annoncés – , la brune de Vincent Venet offrait à Paris Match une interview chez elle, au sein de sa famille, intime et sans faux-semblant.

Sous le feu des questions et taxée de manière taquine de «bobo gaucho», Joëlle Scoriels – habituellement discrète sur ce genre de terrain – s'aventure même à quelques confessions politiques. "J'ai un devoir de réserve par rapport à mon statut à la RTBF et, en plus, je ne suis sincèrement rattachée à aucun parti. Maintenant, ça ne veut pas dire que mon «gauchisme» soit si superficiel que cela. Je suis un peu dans le mouvement post-Brassens, post-Renaud. C'est un gauchisme habité mai pas vécu. Je n'ai jamais été militante mais je me reconnais clairement dans des valeurs «écolo-gaucho». J'ai une espèce de substrat gauchiste qui m'appartient mais auquel je ne donne pas de suite. Et d'ailleurs, je n'en ai pas le droit."

Découvrez l'ensemble de cette interview dans le Paris match de ce jeudi 9 janvier.

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