Abandonnés, défavorisés, orphelins... 400 jeunes se retrouvent à l’École de la dernière chance

Le réalisateur belge Thierry Michel a posé sa caméra dans une école de Seraing. Arte, 22 h 30.

Virginie Roussel
L'école de la dernière chance
©© Les Films de la Passerelle

C’est l’histoire d’un bouleversement. Celui d’un film, d’abord. Et d’un agenda, ensuite. Au commencement étaient la banlieue de Liège, le cinéaste belge Thierry Michel et des adolescents percutés par des épreuves que d’autres ne connaîtront jamais. Parmi ces élèves livrés à eux-mêmes, un jeune homme passionné de foot, promis à un brillant avenir de sportif, devenu braqueur. Une jeune fille dont le père est mort d’une overdose. Une autre, incomprise, enfermée dans une forme de mutisme. Un petit garçon abandonné par sa mère, élevé par sa marraine qu’il adore, à qui il est finalement retiré. Un autre garçon qui se sent fille dans son corps et dans son âme. Tous se retrouvent dans L’École de la dernière chance .

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